L'analyse du parc social de fait parisien en 2003 – Une analyse territorialisée des profils d'occupation des parcs et des quartiers.

étude - tétière - L'analyse du parc social de fait parisien en 2003 APBROAPU362

Constatant l’obsolescence des anciennes catégories d'habitat privé accessibles aux plus modestes (loi de 1948, chambres d’hôtels meublés, chambres de service), cette étude s’attache à redéfinir la notion de parc social de fait au moyen d’un travail statistique qui croise les informations sur les immeubles d’habitation avec celles sur le revenu des ménages (fichier FILOCOM 2003). Des analyses factorielles permettent de segmenter le parc locatif privé en tenant compte du revenu de ses occupants.
La méthode est complexe mais basée sur un principe simple: le «parc social de fait» est défini par similarité avec les profils d’occupation des logements sociaux de droit. En 2003, le parc social de fait est estimé à 103 702 logements à Paris, dont 55 000 relèvent d’un «noyau dur» où la précarité sociale est plus forte. Une cartographie montre que les plus forts regroupements de logements de «parc social de fait» se situent dans les 18e, 19e, 20e, 10e et 11e arrondissements. L’étude fait également ressortir les spécificités des ménages occupants du «parc social de fait» et celles des logements eux-mêmes.
Etude réalisée par ATHEMA pour l’Apur.

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