Début 2012, près de 80 % des sans-domicile adultes francophones usagers des services d’aides de l’agglomération parisienne se déclarent être en bonne santé.
Les femmes se sentent en moins bonne santé que les hommes. La perception de l’état de santé se dégrade avec l’âge. Les sans-domicile disent consulter des médecins régulièrement. Toutefois, le coût financier est à l’origine de 56 % des renoncements aux soins. Les sans-domicile sont 82 % à bénéficier d’une couverture sociale alors qu’un sans-domicile sur deux qui vit dans la rue, plus exposé à des pathologies lourdes, n’en dispose pas.
Étude réalisée en partenariat avec l'Insee Ile-de-France