Stations-service GNV à Paris, recherche de sites d’implantation

Pour répondre aux enjeux d’amélioration de la qualité de l’air à Paris, la question des alternatives à la motorisation diesel se pose pour les véhicules utilitaires de la Ville.

station GNV publique à Rungis (Sogaris) © Apur

C’est dans ce contexte que se pose la question de la conversion au GNV d’une partie des véhicules de la Ville et notamment des engins de nettoiement de trottoirs (ENT) et les 550 véhicules utilitaires légers (VUL) de la direction de la propreté et de l’eau (DPE). Les ENT ont en effet une vitesse limitée à 25 km/h : ils n’ont donc pas le temps de parcourir des distances trop importantes pour se recharger ou s’avitailler ce qui implique que leur lieu d’avitaillement en carburant soit situé à proximité soit de leur lieu d’activité soit de leur lieu de remisage.
À travers la problématique spécifique des engins de nettoiement des trottoirs de la Ville de Paris, qui constituent un élément dimensionnant puisque très contraignant, cette étude explore les contraintes et opportunités que la ville très dense peut offrir en termes d’espaces pour accueillir des stations d’avitaillement en GNV, privées ou publiques et destinées avant tout à des véhicules utilitaires légers en se limitant aux emprises relevant de l’espace public ou du patrimoine foncier de la Ville de Paris.

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